J4 – Vendredi 28 décembre 2012 – Pamukkale
Déjeuner sur la terrasse du Hideaway. JD est tellement ému qu’il oublie de rendre les clés de la chambre en partant. « Pas beau de … » « Je sais ! »
C’était Plongée ou Pamukkale, le « Château de coton », avec une préférence perso pour la plongée afin d’éviter les 4 heures de route. Ca sera vite réglé ; il n’y a pas de moniteur disponible. Direction Pamukkale !
Heureusement la route côtière laisse vite place à une belle route de montagne quasi-déserte. Les pins laissent eux la place à des sapins, puis de grands plateaux surveillés par les montagnes aux sommets enneigés. Quelques bourgs avec de grosses maisons cubiques.
Pamukkale ! Encore une curiosité turque … Une falaise de sels calcaire qui ressemble à une piste de ski, lorsqu’il ne reste que le goulet de la face nord. Des ruisseaux d’eau chaude dévalent la falaise et alimentent au passage toute une série de vasques dont certaines prennent des teintes bleues, superbes (lorsque le soleil brille). Nous avions vu la même chose en modèle réduit à Yellowstone.
Au-dessus de la falaise, on trouve les ruines de la ville romaine de Hiérapolis. Pour les connaisseurs, notamment Del§Azz (Une autre pensée pour vous en passant près des gorges de Saklikent), nous accédons en voiture au dessus de la falaise, sur les conseils du Routard. Nous évitons la montée pieds nus le long du ruisseau. JD descendra malgré tout à la recherche de quelques points de vue. Un peu casse-gueule quand même.
Visite du musée puis direction Ephèse. Il fait nuit, il pleut, la route est chargée. Nous découvrons la conduite made in Turquie où le clignotant est un indicateur vaguement inutile et où les anti-brouillards sont là pour maintenir à distance la voiture qui suit.
Pension Homéros à Selçuk, dans la banlieue d’Ephèse (ou inversement aujourd’hui).
Nous terminons la journée par une dégustation de Loukoums. Achat pièce par pièce, la bave aux lèvres, dans une pâtisserie sexy. Déception quelques minutes plus tard. La plupart des loukoums sont des marshmallows déguisés. Nous découvrons ainsi la proximité entre les deux pâtisseries.