J20 – Mardi 4 août 2009 – Hong Kong

Dernier petit déj avec Jolhan au Charly Brown Café. On prend vite des habitudes …

Pour aller à l’aéroport, nous hésitons longuement entre le bus, le RER local et le taxi. Ce sera le RER. Une demi-heure plus tard, le … taxi nous dépose au Terminal 1.

Nous laissons Jolhan gérer entièrement son départ. Tout va d’autant mieux que nous sommes à Hong Kong. Tout est clair, spacieux, il n’y a pas de file d’attente. Un dernier café au Starbucks et nous coupons le cordon …

Nous revenons dans Kowloon en bus, sous les trombes d’eau. Le typhon n’est pas loin. Nous nous arrêtons dans Mongkok pour attaquer les marchés. Ceux-ci sont spécialisés par nature de produits et concentrent à chaque fois entre 20 et 30 boutiques spécialisées. Nous ferons donc le fruit market (cerises superbes à 25 quelque chose les quelques choses – à part le chiffre, que des caractères chinois), le fish market (une floraison de poissons rouges), le flower market, le bird market (qui vend également des crickets, mais c’est en fait la nourriture de base des oiseaux) avant de terminer par le ladie’s market (j’attendais quelque chose de plus léger que la vente de sacs et de T’shirts).

Au passage nous déjeunons au Pho’ Saïgon. Je tente en dessert le « 3 colours sticky rice with mango ». « Cold or hot ? ». Heu… cold. Le jeu est de deviner ce qui représente la troisième couleur. Ce sont des haricots rouges. Quand au riz, il est mélangé avec des patates douces. Tout cela est finalement très bon, mais le plat pourrait satisfaire 4 personnes.

La pluie s’arrête, du ciel bleu apparaît entre les immeubles. Nous rejoingnons la promenade de Kowloon en bord de mer. Trop tard, le paysage est à nouveau flouté par la brume …

En soirée, nous terminons les marchés de Kowloon … Nous traversons le parc derrière la mosquée, Un petit havre de verdure, avant de remonter le marché de nuit de Temple street;

Nous mangeons en plein air dans une gargote. Le vin de Cath s’avère être de la piquette. Elle est toute heureuse de s’en débarrasser lorsqu’un américain vient s’enquérir « Is the wine drinkable ? » « No, but take the bottle and test it, if you want ». Sa compagne et lui nous adressent ensuite de grands signes pour confirmer qu’ils partagent notre point de vue…

Retour à l’hôtel. On se met en veille en attendant le texto de Jolhan.

Demain, retour à Hanoï.